Le trésor de Tlaxcoalt

Un autre petite histoire pour le fun...



La colonne des chevaliers impériaux avançait à allure réduite. Menés par le haut-capitaine Hans Hirling du Stirland, Les unités se frayaient un chemin à travers l'épaisse forêt des terres du sud. Nous avions été envoyés dans ces terres incertaines par l'empereur pour y trouver un grand trésor. Ce trésor n'était qu'une légende aux yeux des soldats et c'est pour cela que bon nombre d'entre eux se sont rebellés et ont désertés les rangs impériaux. Mais l'empereur était persuadé que se trésor existait réellement. D'après ce qu'ont pus dire les marchands de passage dans la cité impérial, venus offrir des présent à notre souverain, ce trésor serait si précieux qu'une seule poignée de ce trésor suffirait pour devenir aussi riche qu'un seigneur. Les Hommes-Lézards auraient rassemblés or, gemmes et des montagnes d'objets de valeur en l'honneur de leur roi Tlaxcoalt tombé au combat lors de la bataille des marais maudits qui opposa les saurus aux skavens. L'empereur savait bien que si ce trésor existait réellement, il devait être protégé par des guerriers valeureux et des prêtres-mages aux grands pouvoirs. C'est pourquoi il a dépêché un grand nombre de régiments dans ce qui lui était encore disponible, et c’est ainsi que nous, soldats du troisième bataillon du Stirland, sommes arrivés sur ces terres humides. L'effectif n'était plus au complet car il nous a fallut traverser des collines infestés d'orques et emprunter le désert qui gardait en ses lieux des morts qui n'ont pus trouver le repos éternel. Mais grâce à la défense des vaillant hallebardiers nous avons pus arriver dans les terres de Lustrie sans trop de dommages.

A l'instant où nous entrâmes dans la jungle dense nous eûmes l'impression d'être sous une constante observation. Bientôt un combat s'engagea, non pas contre les Hommes-Lézards ou autres immondices qui peuplaient les lieux, mais contre les branchages et les lianes qui obstruaient le chemin que nous empruntions. Parfois, des cris d'animaux étranges venaient troubler le silence qui régnait dans cette jungle épaisse faite d'arbres exotiques qui, parfois même, attaquaient les hommes. Plus nous nous enfoncions dans la forêt, plus notre avancée ce faisait lente et les chevaliers en lourdes armures durent abandonner leur monture et leur sac. Quelques duellistes dépêchés pour l'occasion dans la petite ville tiliène de Bourbeville nous servaient aussi de guides. Leur aide était précieuse car, sans eux, notre contingent impérial n'aurait pu éviter les marécages infestés de bêtes aussi curieuses que dangereuses. Il arrivait fréquemment qu'un homme tombe à terre et meurt sans raisons apparentes mais en y regardant de prêt, les médecins trouvèrent des fléchettes habilement placées dans le cou du défunt, ce qui confirmait à tous que nous étions surveillés, et peut-être même en proie à une embuscade.

Au bout de longues heures de marches forcées à travers la jungle épaisse, nous trouvâmes un chemin fait de dalles. Ce chemin paraissait aussi ancien que les fondements du monde. Nous l’empruntâmes, trop heureux de ne plus avoir à combattre les branchages et les lianes, ne nous souciant guère du fait que nous étions moins protégés et donc plus susceptibles de ce voir confronter à une embuscade. Par chance, le voyage sur cette route, aussi vielle que l'empire lui-même, se fit sans trop de dégâts notoires. Mais cette tranquillité ne présageait rien de bon. En effet, après un tournant, nous vîmes une citée en ruine qui scintillait à en éblouir les yeux des soldats. Cette cité était celle de Pahuax, la grande cité jadis gouvernée par Tlaxcoalt. Les renoms la reconnurent aussitôt et les plus vénales accoururent en direction des bâtiments couverts d'or mais ils furent tout de suite arrêtés par des javelots qui se fichèrent au beau milieu de leur thorax et leur ôtèrent la vie dés qu'ils eurent atteint les destinataires. Les soldats ce mirent rapidement en positions de combat, tandis qu'ils voyaient s'affairer des centaines de guerriers-lézards à l'air menaçant. Ils formèrent des unités bien distinctes sans échanger un mot ni même un son. Mon maître m’ayant appris bon nombre de prières, je les récitais sans discontinuer, mais les Dieux ne nous ont pas récompensés ce jour là, et de cet ost débarqué en quête de trésor je rentre seul en Tilée. En effet, moi seul eu la présence d’esprit de fuir alors que le combat devenait trop inégal ainsi que la chance de rentrer sain et sauf jusqu’à la civilisation. Je rentre en ce jour informer l’empereur de notre défaite en priant pour qu’il n’ait pas l’intention de m’y renvoyer.

c'est un peu court mais j'ai pas pris le temps de la continuer.
Voilà, tous à vos clavier et à vos commentaires

ça en jette ... mais ( raaa le casse-grain )
Dans quelle armée je range ton histoire ? Empire ou Homme-Lezard ?

allez soyons dingue et mettons ça dans la rubrique Empire.
Je suis en train de réfléchir à une suite probable

Enh le couard c'est pas vraie les prêtes guerriers sa fuit pas ! ...enfin juste un peu xD

J'ai pas encore dit si c'était un prêtre guerrier ou un pécore du genre franche-compagnie
Et puis de toute façon c'est moi qui dit si celui-là fuit comme une lopette ou pas :p




.... Le chapitre suivant se précise dans mes pensées, peut-être un jour sera-t-il posté ....

Prêtre guerrier + Hallebardier = Fuite assurée !
ha ha ha

"Mon maître m’ayant appris bon nombre de prières, je les récitais sans discontinuer"

Un troufiou de franche compagnie qui récite des prières ??? sa sent le tipex =P...

Bon oki pour la fuite -_-' jamais mettre un prêtes-guerriers dans une unité d'hallebardier xD

Ah oui !!! " Bon points! bon points! sui là m'en vais t'lacorder!"

Sa manque un peu d'une galerie ce fowum...